vendredi 18 octobre 2013

Quand je serai grande je serai...

Dans les faits, je ne suis jamais devenue grande mais ça, c'est un détail! Bref, on demande souvent aux enfants et aux ados ce qu'ils veulent faire quand ils seront grands. Et, vous allez voir que je n'ai jamais manqué d'imagination dans ce domaine. 
Mon entourage a d'ailleurs eu plus d'une fois peur que je me lance vraiment - car, il semblerait que je sois relativement têtue. Mais, je ne vois vraiment pas de quoi on parle ;).

Les grands classiques tels que pompier, maîtresse ou encore infirmière très peu pour moi. Non, moi - en dehors de maître du monde mais j'ai vite compris que ce n'était pas avouable et aussi que j'avais abusé de Minus et Cortex - je voulais être:


 - banquière: A 5 ans, parfaitement. Mon amour pour le Monopoly n'avait d'égal que ma passion pour la marchande. A un âge où beaucoup d'enfants s'intéressaient aux poupons et autres playmobil, j'amassais les billets. J'acceptais même de faire crédit c'est dire le perfectionnement. Pas folle, je demandais des bonbons en intérêts. Une mini Madoff en puissance :).

 - pilote de chasse: j'avais déjà évoqué mon amour pour les bandes dessinées Tanguy et Laverdure, ce que vous ne saviez pas, c'est que j'ai longtemps rêvé d'être à leur place. Bon, pas exactement d'être à leur place mais en tout cas d'exercer leur métier. 
A moi les airs, c'était la chasse sinon rien. Je m'imaginais déjà avec la combinaison anti-G. L'ennui, c'est que je me voyais mal effectuer certaines missions. Et surtout, il m'aurait fallu un rehausseur dans le cockpit, c'était tout de suite moins classe. 

 - médecin légiste: admettons le, j'avais probablement abusé des livres policiers... Scarpetta n'avait qu'à bien se tenir, la relève était assurée! L'aspect scientifique me passionnait, je voyais un peu cela comme résoudre des énigmes. Inutile de vous préciser que ma nouvelle lubie ne suscitait pas l'enthousiasme de mon entourage, il regrettaient presque ma vocation de pilote c'est dire...

Je ne suis devenue rien de tout cela; quoique, je ne désespère pas pour maître du monde :).

Et vous, quels métiers vous faisaient rêver plus jeune?  

7 commentaires:

  1. Moi aussi je voulais etre pilote de chasse!
    Medecin legiste par contre ca ne m'a jamais tente. Tout ce qui touche a la medecine et au sang, ca ne m'a jamais tente. Mais par contre j'ai voulu etre militaire, commissaire de police, juge des enfants et assistance sociale.
    Au final je bosse dans la finance. Chercher l'erreur!!

    Grosses bises et bon weekend!!

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    1. Très drôle, j'ai également eu ma phase commissaire de police. Je m'étais d'ailleurs renseigné pour les concours.
      Au final, comme toi, j'ai atterri dans la finance...
      Bises et bon week-end

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  2. Pleine d'ambition cette petite que tu étais ! Moi je voulais être "maitresse"... professeur des écoles quoi (oui entre temps la dénomination a changé). Je crois qu'au fond de moi je souhaite toujours un peu faire ça mais je suis dans l'informatique. Je suis de très près ce que fait Grande Crevette à l'école, je trouve ça génial !
    Sympa ton blog !

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    1. C'était même pas de l'ambition, ça me faisait rêver :)
      J'admire les instits car il faut vraiment avoir une patience d'ange!
      Merci :)

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  3. Commissaire de police aussi je m'étais renseignée ! ><
    Sinon deux objectifs :
    - être écrivain
    - vivre dans un château
    Au final, ingénieur agronome dans un appart. Mais il n'est jamais trop tard !
    Hélène

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    1. Exactement il n'est jamais trop tard.
      Et écrivain dans un appart c'est pas mal non plus! (il fait froid dans les chateaux)

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  4. j'adorais le monopoly, j'y joue encore régulièrement et je ruine tous mes concurrents. j'ai une technique infaillible que je garde secrète. Mon ophtalmo m'a dit que je ne pourrais pas être pilote de chasse parce que je suis daltonienne. Ma passion a toujours été de voir des films et je voulais être payée pour le faire. J'attends toujours... pour l'instant je suis au chômage et on peut dire que mes indemnités me paient pour faire enfin ce que j'aime, mais le jour où elles s'arrêteront et que je serai obligée de reprendre des boulots merdiques, avec des collègues débiles et des boss sadiques et incompétents, je vais tomber en dépression !

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