Au secours, je me marie, il me faut une robe

Ça y est vous allez vous marier ! Enfin si vous étiez pressées car, pour ma part, je vivais très bien ma condition de Demoiselle ;). A peine l’euphorie et les bulles de champagnes retombées – parce qu’après tout il ne faut jamais louper une occasion de faire la fête – va se poser, entre autres, la question de la robe. La fameuse, celle dont bien des filles rêvent depuis qu’elles sont enfant.

Bien des filles peut-être, mais pas moi. Mais alors pas du tout ! En tant qu’allergique au mariage, je mettais bêtement la robe dans le même panier que la pièce montée, la calèche, et autres joyeusetés. 

Admettons-le, j’étais pleine d’a prioriJ.

J’ai bien tenté d’y couper mais bon, face à la pression populaire (au minimum), j’ai cédé. Je sais, je suis faible !

C’est ainsi que quelques mois avant la date fatidique, je me suis retrouvée dans une bonbonnière boutique. Moi qui pensais être large niveau timing, j’ai vite déchanté… On m’a bien fait comprendre qu’il fallait plus de temps pour confectionner une robe que construire un avion… Du coup, j’ai failli revenir à mon idée première : y aller en short. Short blanc tout de même, après on va dire que je ne respecte aucune traditionJ.

Mon cahier des charges était simple, du moins le croyais-je : je ne voulais ni volume, ni voile, ni fioritures… Simple non ?

Première boutique :

Le périple commençait très mal. En effet, aucune robe ne rentrait dans mes critères… N’écoutant que mon courage et surtout Mummy Galette qui trépignait d’impatience ;), j’ai quand même enfilé l’élue. Et, elle ne le fût pas finalement, élue, car je ressemblais vaguement à un hobbit endimanché ! Celles qui ont suivi n’étaient guère mieux. L’idée du short a recommencé à faire surface ;).

D’ailleurs, il faut que je vous avoue quelque chose, et que je prévienne les futures mariées qui passeront par-là, essayer une robe est tout sauf glamour. Car, Mesdemoiselles, avant d’avoir la robe sur le dos, vous passerez par la phase, oh combien charmante : sous-vêtements / jupon au milieu du salon d’essayage… Un grand moment de solitude !

Deuxième boutique  -  vous remarquerez ma persévérance :

Un peu rebutée par les photographies de style, comment dire, « cagole » et par l’échec de la première boutique, c’est un peu effrayée que j’ai mis les pieds – et le reste – dans la boutique. Cette fois plusieurs robes rentraient dans mes critères. Sauf qu’après le hobbit, c’est à une communiante que je ressemblais… pas réellement l’effet recherché. Heureusement, face à ma tête dépitée, la charmante vendeuse a volé à mon secours.

Alors d’après-vous, short ou pas short pour le jour J ?